Konzertagenda
Pour lancer la 30e saison de sa série de concerts "Uptown goes downtown", l'UTBB a invité la chanteuse Nicole Eggenberger.
Ce n'est pas la première fois que Nicole est une invitée de choix très appréciée (et très écoutée).
Avec elle, nous faisons revivre la tradition des chanteuses de big band dans le style d'Ella Fitzgerald, Sarah Vaughn ou Peggy Lee et faisons éventuellement entendre l'un ou l'autre duo.
Nicole Eggenberger apporte un peu de glamour et de brillance au groupe et assure ainsi une première de saison festive.
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Annette Kitagawa (comp, sax), Lisette Wyss (comp, sax)
Fabienne Hoerni (sax), Susanne Müller (sax), Naima Gürth (sax)
En exclusivité pour cette soirée, Annette Kitagawa et Lisette Wyss composent leurs propres morceaux. S'appuyant sur leur collaboration artistique de longue date, elles associent ce soir-là des éléments personnels à des événements historiques.
Le quatuor de saxophones Lily Horn Is Born se chargera de la section saxophone.
Si vous souhaitez découvrir comment un quatuor peut répondre aux exigences d'un ensemble de saxophones à cinq voix et comment le big band d'Uptown peut se targuer d'un quota de femmes jamais atteint auparavant, ne manquez pas ce concert de clôture de la 29e saison d'"Uptown goes downtown" !
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Avec Florian Weiss, nous avons l'honneur d'accueillir l'un des trombonistes suisses les plus intéressants de sa génération. Son jeu lyrique et différencié est reconnu loin à la ronde. Florian a remporté plusieurs prix (notamment le ZKB-Jazzpreis, BeJazz Transnational) et se produit avec succès en Suisse et à l'étranger avec son groupe "Woodism".
Le fait que Florian ait également été membre de l'Uptown Big Band au début de sa carrière nous remplit d'une certaine fierté. Bon retour !
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L'Uptown Big Band présente un concert qui met les talents du groupe sous les feux de la rampe. Le directeur du groupe, Patrick Schnyder, a concocté un programme dans lequel, outre ses propres compositions, il s'adonne abondamment à son amour de jeunesse : le funk.
Il vaut donc la peine de veiller, lors du choix de la garde-robe, à une liberté de mouvement suffisante et à huiler les chevilles pour un inévitable balancement.
Get ready for a night of funky grooves and cool solos !
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Sandy Patton n'a plus besoin d'être présentée à Berne. La 'Grand Old Lady' du jazz vocal nous fait à nouveau l'honneur de se produire pour la cinquième fois avec le Uptown Big Band dans le cadre de "Uptown goes downtown". Il est donc clair que Sandy est notre invitée préférée incontestée.
Sous la direction de Patrick Schnyder, l'UTBB accompagnera Sandy avec délicatesse et swing dans un programme plein de surprises et de chansons anciennes et nouvelles.
Nous nous réjouissons de ce gala de jazz. Ne le manquez pas !
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Patrick Schnyder est le nouveau directeur musical pour la saison 2023/24 s'appelle .
Patrick est saxophoniste, compositeur et arrangeur et dispose d'une grande expérience en tant que leader de big band.
Lors de ce concert, il présentera un programme de compositions personnelles dans le premier set. La deuxième partie sera placée sous le signe du big band blues sous toutes ses facettes.
Nous nous réjouissons de cette collaboration passionnante et créative.
Patrick Schnyder, né en 1974 à Langenthal, est devenu à 17 ans déjà le fondateur et le directeur musical du Blue Ties Big Band. Il a étudié le saxophone baryton ainsi que la composition et l'arrangement à la HKB de Berne. Patrick Schnyder écrit des arrangements et des compositions pour big band, rock/jazz band, brass band et orchestres d'harmonie.
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Pour l'ouverture de sa 29e saison, l'Uptown Big Band présente un programme de musique,actuelle flambant neuve, pour big band.
Florian Pfister est un compositeur, trompettiste et chef d'orchestre bernois.
Avec l'Uptown Big Band, il place dans ce programme des compositions originales avec les couleurs sonores de l'orchestre de jazz,tout cela dans un contexte nouveau et frais.Sans pour autant perdre de vue le passé de cette formation riche en traditions. Oscillant entre des passages de big band excitants et des nappes sonores orchestrales, il en résulte une musique qui n'a encore jamais été jouée sur la scène jazz suisse.
Florian Pfister a notamment écrit de la musique pour le Bern Art Orchestra de Django Bates, l'orchestre d'harmonie de l'AFJ et sa propre formation, le Flo Pfister's Tiny Orchestra.
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En savoir plus sur Simon Petermann : il est l'un des représentants de la garde contemporaine des musiciens de jazz suisses qui aiment expérimenter.
En tant que directeur musical du Fischermanns Orchestra, leader du sextette international MoonMot et du trio Inside the Baxter Building, l'exploration des formes contemporaines d'improvisation, la recherche sur le traitement électronique du son et les projets musicaux interdisciplinaires sont au cœur de son travail.
Sous le slogan "Le bon jazz d'aujourd'hui, d'hier, d'ici et du monde entier", il produit depuis 2012 l'émission dominicale 'Jazz am Sunntig' sur Radio RABE.
Il enseigne à la Swiss Jazz School de Berne et à la Haute école des arts de Berne. Avec différents groupes, il donne des concerts dans toute l'Europe et au-delà.
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En savoir plus sur Simon Petermann : il est l'un des représentants de la garde contemporaine des musiciens de jazz suisses qui aiment expérimenter.
En tant que directeur musical du Fischermanns Orchestra, leader du sextette international MoonMot et du trio Inside the Baxter Building, l'exploration des formes contemporaines d'improvisation, la recherche sur le traitement électronique du son et les projets musicaux interdisciplinaires sont au cœur de son travail.
Sous le slogan "Le bon jazz d'aujourd'hui, d'hier, d'ici et du monde entier", il produit depuis 2012 l'émission dominicale 'Jazz am Sunntig' sur Radio RABE.
Il enseigne à la Swiss Jazz School de Berne et à la Haute école des arts de Berne. Avec différents groupes, il donne des concerts dans toute l'Europe et au-delà.
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Ce soir, nous jouerons ses compositions et arrangements, qui mettront Ralf à l'honneur à la trompette et au bugle.
Hesse a pris ses premières leçons de trompette en 1980 ; en 1985, 1987 et 1990, il a été lauréat du concours "Jugend jazzt" du Bade-Wurtemberg.De 1988 à 1990, il a joué dans le Jugend-Jazzorchester Baden-Württemberg.Au début des années 1990, il s'est produit avec The Young Generation of Swing et le Bundesjugendjazzorchester, avec lequel il a réalisé ses premiers enregistrements en 1993. En 1997, il a obtenu son diplôme de trompette jazz à la Musikhochschule de Cologne. Entre 2009 et 2011, il a suivi un master en composition et arrangement de jazz à la Musikhochschule de Mannheim.
En 2000, il a dirigé avec le saxophoniste Marcus Bartelt son propre groupe, dont Martin Sasse faisait partie,Leur CD Happy Weeks est sorti en 2001.
En outre, il a joué dans les big bands des radios WDR, HR, SWR et RIAS, avec le New Art Orchestra de Bob Brookmeyer, le Rhythm Combination & Brass de Peter Herbolzheimer et l'ensemble de jazz franco-allemand d'Albert Mangelsdorff.
Il a également participé aux enregistrements de Bobby Burgess, Ansgar Striepens/Ed Partyka (Tunnel Vision - Music for Jazz Orchestra, 1997), Claus Koch (Snooki-ing, 2002), Florian Trübsbach, Oliver Groenewald, Al Porcino et Chris Walden.
En 1994, il a été l'un des membres fondateurs du Sunday Night Orchestra.
Depuis 2006, Hesse est membre de l'orchestre Pepe Lienhard. En tant que compositeur et arrangeur, Hesse a travaillé entre autres pour le SWR Big Band, l'orchestre Pepe Lienhard, Helen Schneider, Götz Alsmann, Lang Lang, Udo Jürgens et le Sunday Night Orchestra ; il est également chargé de cours à la Musikhochschule de Detmold.
Dans le domaine du jazz, il a participé à 24 sessions d'enregistrement entre 1992 et 2011.
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Pour cela, il a écrit de la nouvelle musique et a adapté au big band Uptown des morceaux qu'il a joués avec Enrico Pieranunzi, Peter Madsen, l'orchestre de jazz du Vorarlberg ou l'orchestre klapparat.
Le programme s'intitule "Lower Voice". Matthias Wenger, comme souvent avec son saxophone alto/soprano et sa flûte avec "Hildegard Lernt Fliegen", monte ce soir-là pour la première fois sur scène avec son nouvel amour
: le saxophone baryton, en tant que soliste !
"Lower Voice" est un programme dans lequel le big band d'Uptown se fond en un grand et chaleureux corps sonore.
Il offre aux musiciens, musiciennes et solistes du big band beaucoup d'espace pour laisser s'évader leur âme.
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Brigitte Wullimann célèbrera cette magie ce soir-là avec l'Uptown Big Band, qui posera subtilement le tapis sonore pour la voix de Brigitte. L'immense éventail d'interprétations de Brigitte trouve peut-être ses racines dans le fait qu'elle évolue également dans le genre classique. Et dans la pop, à l'époque par exemple avec Udo Jürgens, ce qui apporte un merveilleux potentiel pour une merveilleuse pincée de kitsch (désolé Udo).
Quelques pincées, qui on l'espère, fera du bien.
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prenez le légendaire Stewy von Wattenwyl et son légendaire orgue Hammond B3,
ajoutez bien sûr le légendaire système de haut-parleurs Leslie et une pincée d'Uptown Big Band (peut-être bientôt aussi légendaire) ; et voilà le corps et la soul téléportés dans les années cinquante et soixante
(de toute façon, tout était mieux avant).
Stewy possède les gènes du blues et de la barbe à papa, et c'est exactement ce qu'il faut pour extraire la magie sonore du B3, car la musique B3 est faite pour se sentir bien et peut-être aussi pour verser une larme de temps en temps.Stewy est né en 1962 ...
Plus tard, on dira que le son et les possibilités d'expression du piano l'ont enthousiasmé dès son plus jeune âge.
Dès l'âge de 8 ans, ses parents inquiets ont essayé de canaliser cette énergie et ont permis à l'enfant, qui en est encore reconnaissant aujourd'hui, de suivre pendant environ dix ans des cours de piano classique au vénérable conservatoire de Berne.A l'adolescence est venu le désir d'émancipation artistique et le jeune homme a trouvé dans le blues et le jazz les rythmes et les sons, l'énergie et les libertés qui lui avaient tant manqué auparavant, tant chez Beethoven que chez Bartok.Certes, la formation s'effectuait désormais principalement de manière autodidacte et presque exclusivement par l'oreille, mais elle était d'autant plus intensive et précieuse qu'il participait à de nombreux groupes de travail.Après - ou malgré ? - une formation phil. Hist. à l'université de Berne, Stewy von Wattenwyl a tout de même obtenu en 1998 le diplôme très convoité de la célèbre Swiss Jazz School à Berne, où il encourage aujourd'hui de jeunes talents en tant que professeur et directeur d'école.Dès 1988, Stewy von Wattenwyl a fondé son trio de piano, qui allait devenir sa formation préférée pendant de nombreuses années, avec sept productions de CD et d'innombrables concerts en Suisse et à l'étranger en tant qu'accompagnateur. Il a également acquis une vaste expérience dans de nombreuses formations de jazz, entre duo et big band.Dans les années 90, il a ainsi été pendant trois ans le pianiste du Swiss Jazz School Bigband, qui a joué dans de nombreux festivals entre Montreux et New York.Il a fait partie pendant sept ans de l'Avantgarde Jazz Orchestra de Martin Streule, a joué des motunos dans les groupes latins de ses frères, du piano Wurlitzer ou Fender Rhodes dans des ensembles funk ou a été pianiste de bar remplaçant dans la vie nocturne de Berne. Depuis le début du millénaire, von Wattenwyl se produit de plus en plus sur l'orgue Hammond B-3, un instrument dont le son le captive depuis ses visites de foire dans sa prime enfance. Au cours de toutes ces années, Stewy a eu l'occasion de travailler avec de nombreux musiciens de jazz suisses de premier plan : Domenic Landolf, Alex Hendriksen, George Robert, Bänz Oester, Nick Perrin, Pius Baschnagel, Matthieu Michel, Daniel Schläppi, Francis Coletta, Tobias Friedli, Kevin Chesham, Thomas Dobler, Lance Beyeler, Martin Streule, Walter Schmocker, Daniel Schenker, Mats Spillman, Roman Schwaller, Christian Münchinger, Ganesh Geymeier, Christoph Grab, Sandro Schneebeli, Rolf Häsler, Daniel Aebi, Giorgos Antoniou, Bernhard Bamert, Elmar Frey, Lisette Spinnler, Herbie Kopf, Christoph Schweizer, Samuel Zingg et bien d'autres,mais aussi avec quelques grands des Etats-Unis et d'Europe : Art Farmer, Clark Terry, Alvin Queen, Bobby Shew, Bob Mintzer, Johnny Griffin, Ryan Kisor, Eric Alexander, Adam Taubitz, Sandy Patton, Dusko Goykovic, John Allred, Adrian Mears, Ed Neumeister, Reggie Johnson, Greg Gisbert, Dany Doriz, Randall Breneman, Rhonda Dorsey, Georgia Ciavatta, Brandy Butler, Sharon Harris, Bert Joris.
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Ceux qui pensent que le big band jazz n'a pas de relève se trompent.L'Uptown Big Band en apporte déjà la preuve avec dans ses propres rangs des musiciens allant parfois de moins de 20 ans à plus de 70 ans.
Lors de ce concert, l'Uptown Big Band joue que le second rôle,c'est le Konsi Bigband qui est sous les feux de la rampe lors du concert commun ; il réunit de jeunes musiciennes et musiciens talentueux âgés de 12 à 25 ans qui s'intéressent au jazz et à la musique pop.
Depuis 2008, cet ensemble est dirigé par Matthias Wenger.
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Le pianiste Félix Stüssi a émigré au Canada il y a plus de 20 ans. Il se consacre entièrement au piano jazz et à la composition. Son quintette remporte le prestigieux Grand Prix du Festival International de Jazz de Montréal. Le tromboniste Ray Anderson rejoint le quintette et quatre autres albums voient le jour, qui rencontrent un grand succès des deux côtés de l'Atlantique.
Félix Stüssi joue aussi régulièrement dans d'autres formations dans son ancienne patrie, l'Europe. Il a donné de nombreux concerts et effectué de nombreuses tournées avec Bruno Spoerri, Nils Wogram, Jürg Wickihalder, Christoph Grab, Werner Fischer et Peter Schmid. En 2017, la commune de Glaris Nord a décerné à Félix Stüssi le prix culturel. Vidéo
Vorverkauf: |
John Aram est né en 1962 à Nottingham, en Angleterre.Il a étudié à la Royal Academy of Music de Londres et, après avoir obtenu son diplôme, a travaillé en free-lance avec de nombreux orchestres de premier plan en Grande-Bretagne.
Il a réalisé de nombreux enregistrements pour la télévision et la radio, notamment pour Columbia Pictures.
Il a collaboré avec de nombreux artistes de jazz de premier plan, dont Kenny Wheeler, Jason Rebello, Guy Barker, Daniel Humair, Tom Cawley et bien d'autres. Depuis quelques années, il écrit, arrange et joue avec Phil Collins et collabore avec les Funk Brothers et Daryl Stuermer.
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Dès l'âge de deux ans, elle commence à jouer du piano, puis de la guitare, du trombone et de l'orgue d'église. À douze ans, elle fonde son premier groupe qui joue des compositions qu'elle a elle-même composées. Alors qu'elle vit et étudie au Canada pendant un an, elle découvre le désir de se plonger entièrement dans la musique. Elle commence à jouer avec de nombreux groupes et orchestres, ouverte à tous les genres musicaux.
Après avoir obtenu son Abitur (diplôme d'études secondaires), elle a déménagé en Suisse en 2009 pour travailler et commencer à étudier à l'Universität Bern (CH) l'année suivante, d'où elle est sortie avec un Bachelor en Musicologie/Philosophie en 2013. Elle a continué son exploration musicale pratique et a trouvé des groupes de différents genres musicaux afin d'élargir également ses connaissances techniques, comme elle est devenue plus curieuse de l'utilisation des effets électroniques.
En 2013, elle a commencé à étudier le trombone jazz à la haute école des arts (Université des Arts) de Berne (CH), dont elle a obtenu le diplôme de bachelor en 2016. Cela l'a dotée d'une solide pratique de l'enseignement théorique.
Pour compléter ses études en vue de l'obtention du master en composition et arrangement à la HKB, Berne (CH), elle a suivi des cours d'informatique musicale à la Zürcher Hochschule der Künste ZhdK, Zürich (CH) et a étudié pendant un semestre au JIB de l'Universität der Künste UdK, Berlin. Le Master-Concert final a eu lieu avec son groupe CHINZILLA en septembre 2018. Depuis lors, elle se consacre pleinement à l'interprétation et à l'écriture musicale, aussi bien pour des ensembles plus importants comme un orchestre de violoncelle-basse de 100 personnes à Berne (" Nebelmeer " (2018)) ou un orchestre scolaire de 50 enfants en Allemagne, que pour ses propres groupes et projets de taille généralement plus modeste.
Freelance depuis de nombreuses années en tant que musicienne, jouant du trombone et du sousaphone et en tant qu'arrangeuse, elle a commencé en 2015 à lancer deux groupes propres à travers lesquels elle exprime son état d'esprit musical : Polyhedron et CHINZILLA et LAVA BEAM (trouvez les liens dans la section musique de cette page). Elle fait toujours partie d'un grand nombre de groupes (voir la section "musique" de cette page) et son parcours musical l'a amenée à faire des tournées dans toute l'Europe et aussi en Afrique du Nord. Elle travaille également en tant que technicienne du son freelance en studio et en live et écrit des articles sur la musique.
Pendant les mois sans concerts et le lockdown au printemps 2020, elle a fondé le label "Ranunkel Records", sur lequel elle a sorti le premier CD avec de la musique entièrement écrite par elle-même. "Uhrenvergleich" est son premier EP avec son groupe Polyhedron, enregistré en décembre 2019 et sorti le 14 août 2020, également disponible dans la plupart des magasins en ligne. En 2020, elle aurait dû faire sa première tournée avec son nouvel ensemble international "LAVA BEAM". Au lieu de cela, elle a enregistré à distance avec eux et a réalisé une vidéo avec les moyens du bord. Elle est sortie sur Ranunkel Records en novembre 2020.
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Qui est Kurt Bläsi ? Kurt Bläsi - le héros fictif de cette série de concerts-lectures - mène sa vie à Ostermundigen. Son apparence est aussi négligée que son langage. Les règles et les normes de la haute société ne sont pas son affaire. Son attitude trop décontractée vis-à-vis des conventions sociales le place régulièrement, lui et sa malicieuse amie Erika Spelterini, dans des situations dangereuses.
Locations: |
Pour agrémenter le concert, nous avons invité le leader du big band de l'Oberland bernois, Rolf Häsler, qui dirige le groupe et prendra parfois son saxophone.
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Manuel Schwab a composé un répertoire fascinant qu'il fera briller durant ce concert avec l'Uptwon Big Band.
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L'auteur Andreas Iseli a une fois de plus sorti le grand jeu. Le narrateur Christian Schütz et le Uptown Big Band accompagnent avec passion et verve ce voyage sinistre dans le "Grand Hôtel de l'Horreur". Une lecture talentueuse encadrée par un concert de jazz !
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Notre octet fait revivre le jazz en direct.
En raison de mesures de protection encore strictes, le concert ne peut pas être joué avec tous les musiciens. A la place, le Big Band Uptown jouera comme Small Band Uptown dans une formation en octet (mais avec 3 trompettistes en alternance).
La taille du public est limitée à 45 invités, soit 33 % de la capacité maximale des sièges.
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Nous jouerons à un tarif agréable pour tous.
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A cette époque, Sampaio ne pouvait montrer qu'un carnet de notes de son voyage européen. Partyka a feuilleté le carnet, se souvient le musicien, il a trouvé une partition qui s'intitulait "Vienne" , et il a dit "OK", fais en quelque chose ! Et je me suis assis et j'ai écrit mon premier morceau pour le big band.
" Source: Wikipedia & kultur.steiermark.at
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25e saison, prologue⇨
Bienvenue dans la 25e saison!
Christian Schütz
Epilogue de la 25e saison
Le mot de l'année 2020 est peut-être: annulé! Nous avions prévu beaucoup de choses pour cette saison, jusqu'au début de l'été avec un flair international. Mais nous n'avons pu faire que quatre concerts, le dernier a eu lieu le 28 février, après cela, annulé, annulé. Annulé. On dirait que c'est annulé.Nous revenons donc à ce 28 février. Lukas Knecht s'est assis comme invité à la batterie, il s'est amusé avec sa carte blanche, ce qui signifie que le programme était entièrement le sien, déterminé par lui. Et il y avait beaucoup de monde, le public, beaucoup plus que d'habitude en un banal vendredi de février dernier. Le monde allait-il encore bien à l'époque ? Pas tout à fait, il y avait quelque chose dans l'air. C'est peut-être pour cela que Knecht a joué si extravagant. On ne se serrait plus la main, on trouvait cela assez inhabituel à l'époque. Pourquoi y avait-il tant de monde ? Peut-être parce que beaucoup d'autres choses plus importantes avaient été annulées, nous avons entendu des rumeurs.
Qui aurait cru, il y a un quart de siècle, que cela se produirait, à l'époque où le Uptown Big Band a commencé à jouer. C'était les années 90, tout espoir, le mur disparu, une nouvelle Russie, les radiations de Tchernobyl, la crise du sida surmontée. Et maintenant cela et les drôles de messieurs avec leurs drôles de coiffures, qui rendent le monde peu sûr. Cela ne concerne pas notre chef d'orchestre Christian Schütz, qui a souvent une très belle coiffure.
Donc, supprimons la 25ème de l'agenda, nous planifions la 26ème saison, avec beaucoup de groove, des invités annulés que nous invitons à nouveau et des choses très chaudes qui sont encore très secrètes. Et nous ne voulons pas être dérangés par des facteurs biologiques, des voleurs en coulisses (ils étaient là à la 25ème saison aussi) ou des hommes étranges avec des coiffures étranges. Sauf Schütz, bien sûr.
Après une première rencontre très réussie avec un projet de concert il y a cinq ans, le Duo Anderson-Stüssi et le Uptown Bigband peuvent enfin être entendus ensemble à nouveau. Ils se réjouissent de vous accueillir en tant que participants à l'expédition musicale.
ANNULE Vendredi, 27. mars 2020, 20.30 Uhr, BeJazz Club Vidmarhallen, Bern‑Liebefeld
Michael Gilsenan (ts)
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- Michael Gilsenan www.michaelgilsenan.ch
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très particulière des batteurs de big band, car dans un grand groupe, la batterie et la basse sont le moteur du groove.
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Daniel Schenker amène beaucoup de ses compositions à lui, pour son passage en scène avec l'Uptown Big Band, et elles sont sensationnellement magnifiques! Vous sentez que vous devez immédiatement prendre un verre de whisky dans le BeJazz Club et vous pencher en arrière dans votre fauteuil.
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„Depuis l'âge de treize ans je joue de la guitare avec passion. La fascination et l'amour pour cet instrument ne m'ont jamais quitter.“
Si Antonia est sans guitare sur la route pour des raisons professionelles , c'est en tant que professeur de musique à l'université.
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- John Aram
Né à Nottingham, études à la Royal Academy of Music de Londres, musicien d'orchestre au Royaume-Uni, musicien de studio pour la radio, la télévision et le cinéma, arrangeur de Sir Phil Collins.
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- Michael Wyss
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Un concert de jazz et un thriller policier à la lecture virtuose se côtoient sur scène et se complètent pour créer une expérience unique.
Autres informations :
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Francis Albert "Frank" Sinatra, chanteur, acteur et meneur – aussi appelé The Voice – travailla pour la première fois en 1968 avec le Big Band d' Edward Kennedy "Duke" Ellington, le compositeur et chef d'orchestre hors pair.
Sa musique d'une incroyable légèreté est encore appréciée de nos jours; un acheteur de CD contemporain (pro specie rara!) la décrite dans son catalogue en ligne :
"There is something about the Ellington - Sinatra version of Yellow Days that reminds me of the counterpunctual perfection of a Bach partita or keyboard variation. Since I first heard this recording some 30 years ago, I have loved it. A classic swing vocalist - jazz arrangement by two musical titans. It doesn't get much better than this session. Like a Bach keyboard piece, this arrangement can fill a concert space in flowing, complementing refrains." (Amazon, 2017)
L'orchestre sera dirigé par John Aram. The Voice est Mike Maurer. John, c'est un de nos chef d'orchestre préféré : il a étudié à la "Royal Academy of Music" de Londres, musicien d'orchestre au Royaume-Uni, arrangeur de Sir Phil Collins, son langage et lui sont très british. John est un connaisseur d'Ellington!
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Jessanna Nemitz (voc)
Josephine Nagorsnik (tb)
Sonja Ott (tp)
Max Treutner (ts)
Billy Utermann (p)
Oscar Holliger (git)
Le jazz est toujours en évolution, toujours dans la modernité et dans la spontanéité. Bien que nous jouions des morceaux d'antan et modernes, se sont les musiciens qui les marquent personnellement. Pour célébrer cet art, nous avons invité des étudiants de la haute-école de jazz de Berne et de Lucerne.Vous pourrez entendre : Jazz goes on, avec des solos d'aujourd'hui mais avec des révérences au millénaire précédent.
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VSOP n'est pas un ancien Cognac raffiné, mais nos musiciens expérimentés.
Contrairement au sport, ou à 30 ans le cap est passé, la vie jazzistique commence.
De nos archives, nous avons repêchés quelques perles, que nous vous présenterons à cette occasion. It's Jazz-Time !
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il est et reste dans l'ère du temps, il est un pionnier dans le jazz et aussi avant-gardiste de la musique électronique.
Bruno nous apporte ses compositions, ses sons et ses solos en jouant avec l'Uptown Big Band au Bejazz-Club.
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Un critique ravi a dit : Ellington a porté le Cotton Club dans l'église.
Nous jouerons des morceaux du Concerts sacrés avec le choeur Cäcilicenchor de Thun.
Konzertkritik
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Né à Nottingham et a étudié à la "Royal Academy Of Music" de Londres. Musicien d'orchestre au Royaume-Uni. Musicien de studio à la Radio, Télévision et au cinéma, arrangeur de Sir Phil Collins.
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- Ein selten gehörtes Juwel: Die Uptown Big Band führte zum Abschluss ihrer Saison Duke Ellingtons «Far East Suite» im Bejazz-Club in den Vidmarhallen auf. Georg Modestin, der Bund, 23. Mai 2016; ...×
In den Zeiten des Kalten Krieges gehörte auch der Jazz zu den Mitteln der amerikanischen Aussenpolitik. Zahlreiche Grössen dieser Musik wurden im Auftrag des State Department auf Tourneen geschickt, um das Bild der Vereinigten Staaten in der Welt aufzupolieren. Unvergessen ist in diesem Zusammenhang Benny Goodmans Reise in die Höhle des russischen Löwen, in deren Verlauf er im Sommer 1962 – die Kubakrise braute sich gerade zusammen – dreissig Konzerte in der Sowjetunion gab, vor geschätzten 180'000 Zuhörern notabene. Louis Armstrong seinerseits wurde 1965 in Ostberlin bejubelt. Dazwischen, 1963, tourte das Duke Ellington Orchestra ausgedehnt durch den Nahen und Fernen Osten.
Die auf dieser Konzertreise aufgenommenen Eindrücke verarbeitete der Duke in Zusammenarbeit mit seinem Alter Ego Billy Strayhorn im Nachschlag zur «Far East Suite», die im Dezember 1966 aufgenommen wurde. Im Gegensatz zu Ellingtons Einzelnummern werden seine grossen Werke, mit denen er sich als respektabler Komponist etablieren wollte, nur selten wieder aufgegriffen; aus der «Far East Suite» ist nur gerade «Isfahan» zum Jazzstandard geworden. Dies ist schade, wie die Aufführung der besagten Suite durch die Berner Uptown Big Band zeigt, bei der das ganze Opus für sich einzunehmen vermochte. Überhaupt ist der Duke bei dieser Band in guten Händen, hat sie doch Ende 2013 mit den Sacred Concerts bereits eine andere Rarität aus dem Ellington-Repertoire zu neuem Leben erweckt.
Orientalische Motive
Die unter der Leitung ihres Gastdirigenten und Ellington-Spezialisten John Aram dargebotene «Far East Suite» ist wie andere Ellington-Suiten auch eine Abfolge einzelner Nummern, die sich auf einen programmatischen Rahmen beziehen. Im Fall der «Far East Suite» finden sich dabei ausgesprochen attraktive Stücke, die Ellington pur bieten, auch wenn sich die Komponisten Ellington und Strayhorn zu orientalisch anmutenden Motiven verführen liessen.Es ist bekannt, dass sie die Musik den einzelnen Solisten in der Band auf den Leib geschrieben haben, was eine Wiederaufführung nicht einfach macht. Die Uptown Big Band stellt sich dieser Herausforderung mit Bravour, man denkt beim Hören sofort an einen Jimmy Hamilton, einen Johnny Hodges oder einen Harry Carney, die alle sehr lebendig wirken, und nicht wie aus der Vergangenheit beschworene Geister.
Nach der Pause ging die Ellington-Party unbeschwert weiter, mit «Rockin’ In Rhythm», «Jump For Joy» und «Ko-Ko» als swingenden Höhepunkten.
